En janvier 2025, un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas est en négociation avancée, marquant un tournant après plus de 15 mois de conflit dans la bande de Gaza. Cette initiative a vu une coopération inhabituelle entre l’administration sortante de Joe Biden et l’équipe de transition de Donald Trump, le président élu, dans une tentative de finaliser l’accord avant l’investiture de ce dernier le 20 janvier.

Au 16 janvier 2025, un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas a été confirmé après des mois de conflit intense. Cet accord, médiatisé par les États-Unis, implique la libération progressive d’otages et l’acheminement d’une aide humanitaire à Gaza. Joe Biden a joué un rôle clé dans la conclusion de l’accord avant de quitter la Maison Blanche, tandis que Donald Trump, président élu, a promis de renforcer le suivi du processus dès son investiture le 20 janvier. Des défis subsistent, notamment concernant la pérennité de cette trêve fragile.

Les efforts diplomatiques sous l’administration Biden

Sous l’administration Biden, des efforts diplomatiques intensifs ont été menés en collaboration avec des médiateurs internationaux tels que l’Égypte et le Qatar. L’accord en discussion inclut un cessez-le-feu durable et la libération de nombreux otages détenus par le Hamas. Toutefois, les tensions internes en Israël et les réserves des deux parties sur les termes spécifiques ont retardé sa finalisation.

Les craintes liées à l’arrivée de Trump

Avec l’arrivée imminente de Trump au pouvoir, des craintes émergent quant à la stabilité de cet éventuel accord. Les déclarations publiques et les nominations prévues par Trump laissent entendre une politique plus ferme vis-à-vis du Hamas, ce qui pourrait compromettre les gains diplomatiques actuels. Néanmoins, son administration a exprimé une volonté de soutenir des solutions rapides et décisives, même si cela suscite des inquiétudes sur le terrain.

Une transition complexe

Cette période marque donc une transition complexe, où les approches divergentes des deux dirigeants influencent profondément l’avenir de la région. Biden cherche à conclure sur une note diplomatique, tandis que Trump promet des mesures musclées dès son investiture.